Lundi 13 avril
1
13
/04
/Avr
18:03
. 1 .
Sarah sûrement la fille qui représente le plus l'innocence mais pourtant elle n'est pas comme ça mais elle
donnait l'impression d'être une fille douce et gentille. Ce n'était pas une de ces filles exubérantes prétendant avoir fait beaucoup de choses. Mais Sarah était d'un caractère fort, sincère une
fille authentique.
Amoureuse depuis quelques mois de son prof d'histoire, elle ne s'en cachait pas et faisait tout pour qu'il le remarque.
Tout commença le jour où elle se mit devant le bureau avec son air sérieux mais sensuel qui aurait fait tomber le plus insensible. Elle me regardait sans ciller, j'étais mal à l'aise. Et c'est là que j'ai compris que cette fille de 19 ans me faisait de l'effet, que je la voulais.
Depuis c'était devenu une obsession , mon obsession. Dans mes rêves je lui effleurais le visage, mes mains redessinaient ses courbes, ma bouche découvrait chaques parties de son corps. Je lui faisais l'amour pendant des heures. J'étais en train de perdre le contrôle.
Un mardi, elle s'est mise devant ma porte avec ce qui devait être son copain.Ils s'emballaient devant moi, tout ce que je voyais en rêve c'était lui qui le faisait, c'était lui qui avait droit à ses lèvres sucrées. Elle me regardais avec une lueur de défi, j'ai pas réflechis, je suis sorti. Je suis allée vers elle, je lui ai pris la main, je l'ai entraîné dans une salle vide et l'ai plaqué contre un mur. Elle souriait, elle ne paraissait pas le moins du monde surprise.
J'ai posé mes mains au dessus de ses épaules, j'ai plongé mon regard dans le sien, j'ai eu peur de la brusquer parce que pour moi c'était SARAH la jeune fille timide. Je n'ai pas eu le temps de réflechir davantages car je venais de sentir ses mains qui remontaient lentement sur mon torse, qui me touchaient les tétons. Je l'ai vu s'approchais - son regard toujours dans le mien - elle enleva ma chemise en douceur, vint poser sa tête entre mon cou pour y laisser de langoureux baisers tout en descendant le long de mon torse. Je n'y croyais pas, je croyais encore être perdu dans mes rêves. Ses mains qui me caressaient me fîrent oublier mes doutes, je sentais monter l'excitation. Ce n'était pas la même fille, mais j'aimais ça, j'aimais ce qu'elle me faisait. Elle débloucla ma ceinture, ouvra les boutons de mon jean toujours dans cette douceur excitante. J'avais envie de la replaquer sur son mur, de l'embrasser, de la toucher mais c'est elle qui menait la danse j'étais comme impuissant devant elle et se qu'elle créait en moi. J'ai senti sa main dans mon jean, je ne rêvais plus, elle continuait à plaquer ses baisers sur mon torse en me mordillant légerement les tétons. Mais il m'a fallut redescendre sur terre quand je l'entendis me souffler, amusée, au creux de l'oreille "Je crois qu'il y à quelqu'un qui essaye de rentrer!" .
En effet, quelqu'un frappait à la porte, montée de stress, j'étais un prof d'histoire seul dans une salle vide avec une jeune fille qui avait sa main dans mon jean. Situation gênante!!
Pas le temps de réflechir, je la regarda une dernière fois, elle enleva sa main c'est comme si on m'avait coupé les ailes. Elle ramassa vite ma chemise, pendant que je refermais vite fait mon jean, elle me la remetta en me souffant " Ca serait mieux ailleurs la prochaine fois!! On fait comment maintenant?"
Je la laissa cachée derriere la porte pendant que j'allai voir qui c'était. C'était des éléves qui avaient cours dans cette salle qui espéraient que leur prof ne serait pas là. Je la savais derriere cette maudite porte où j'avais passé, le temps d'une récréation, un moment inoubliable. Je ne savais pas comment la faire sortir puis finalement je me suis dis que j'étais prof que ces mioches de secondes n'avaient pas à me poser de questions. Elle sortit sans me regardait, sans me sourire.
Je pensa d'un coup "Il n'y aura pas de prochaine fois..."
Amoureuse depuis quelques mois de son prof d'histoire, elle ne s'en cachait pas et faisait tout pour qu'il le remarque.
Tout commença le jour où elle se mit devant le bureau avec son air sérieux mais sensuel qui aurait fait tomber le plus insensible. Elle me regardait sans ciller, j'étais mal à l'aise. Et c'est là que j'ai compris que cette fille de 19 ans me faisait de l'effet, que je la voulais.
Depuis c'était devenu une obsession , mon obsession. Dans mes rêves je lui effleurais le visage, mes mains redessinaient ses courbes, ma bouche découvrait chaques parties de son corps. Je lui faisais l'amour pendant des heures. J'étais en train de perdre le contrôle.
Un mardi, elle s'est mise devant ma porte avec ce qui devait être son copain.Ils s'emballaient devant moi, tout ce que je voyais en rêve c'était lui qui le faisait, c'était lui qui avait droit à ses lèvres sucrées. Elle me regardais avec une lueur de défi, j'ai pas réflechis, je suis sorti. Je suis allée vers elle, je lui ai pris la main, je l'ai entraîné dans une salle vide et l'ai plaqué contre un mur. Elle souriait, elle ne paraissait pas le moins du monde surprise.
J'ai posé mes mains au dessus de ses épaules, j'ai plongé mon regard dans le sien, j'ai eu peur de la brusquer parce que pour moi c'était SARAH la jeune fille timide. Je n'ai pas eu le temps de réflechir davantages car je venais de sentir ses mains qui remontaient lentement sur mon torse, qui me touchaient les tétons. Je l'ai vu s'approchais - son regard toujours dans le mien - elle enleva ma chemise en douceur, vint poser sa tête entre mon cou pour y laisser de langoureux baisers tout en descendant le long de mon torse. Je n'y croyais pas, je croyais encore être perdu dans mes rêves. Ses mains qui me caressaient me fîrent oublier mes doutes, je sentais monter l'excitation. Ce n'était pas la même fille, mais j'aimais ça, j'aimais ce qu'elle me faisait. Elle débloucla ma ceinture, ouvra les boutons de mon jean toujours dans cette douceur excitante. J'avais envie de la replaquer sur son mur, de l'embrasser, de la toucher mais c'est elle qui menait la danse j'étais comme impuissant devant elle et se qu'elle créait en moi. J'ai senti sa main dans mon jean, je ne rêvais plus, elle continuait à plaquer ses baisers sur mon torse en me mordillant légerement les tétons. Mais il m'a fallut redescendre sur terre quand je l'entendis me souffler, amusée, au creux de l'oreille "Je crois qu'il y à quelqu'un qui essaye de rentrer!" .
En effet, quelqu'un frappait à la porte, montée de stress, j'étais un prof d'histoire seul dans une salle vide avec une jeune fille qui avait sa main dans mon jean. Situation gênante!!
Pas le temps de réflechir, je la regarda une dernière fois, elle enleva sa main c'est comme si on m'avait coupé les ailes. Elle ramassa vite ma chemise, pendant que je refermais vite fait mon jean, elle me la remetta en me souffant " Ca serait mieux ailleurs la prochaine fois!! On fait comment maintenant?"
Je la laissa cachée derriere la porte pendant que j'allai voir qui c'était. C'était des éléves qui avaient cours dans cette salle qui espéraient que leur prof ne serait pas là. Je la savais derriere cette maudite porte où j'avais passé, le temps d'une récréation, un moment inoubliable. Je ne savais pas comment la faire sortir puis finalement je me suis dis que j'étais prof que ces mioches de secondes n'avaient pas à me poser de questions. Elle sortit sans me regardait, sans me sourire.
Je pensa d'un coup "Il n'y aura pas de prochaine fois..."
Présentation
- : Le blog de Paradiz
-
- : Histoires érotiques
- Partager ce blog
- Retour à la page d'accueil
- Contact
Créer un Blog
Recherche
Articles récents
Calendrier
| Mai 2024 | ||||||||||
| L | M | M | J | V | S | D | ||||
| 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | ||||||
| 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | ||||
| 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | ||||
| 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | ||||
| 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | ||||||
|
||||||||||
